Vilaine, Laurence

Résidence en janvier 2017

Depuis 2014 où elle fut en résidence d’écriture à Alger, puis à Marseille, grâce à la Marelle, Laurence Vilaine mène un projet appelé : J’entends des chants de femmes. Des partenaires artistiques et institutionnels l’accompagnent. Des cultures différentes se rejoignent pour une forme commune et multi-artistique. De retour d’Alger, Laurence Vilaine et Catherine Charlot, vidéaste, travaillent à Saint-Florent-le-Vieil pour mettre en image et en voix les rencontres algéroises.

« J’aurais pu me douter qu’en revenant, je t’aurais trouvé là. Sans réfléchir j’ai levé la poignée au lieu de la pousser vers le bas, c’est drôle, ma main avait gardé la mémoire de son installation à l’envers. Dans l’escalier, sur la première marche, les deux tomettes descellées ont fait leur bruit d’assiettes. C’était il y a cinq mois et quelques poussières, dans la lumière de l’hiver. »

La Grande Villa, Gaïa Éditions, 2016

 
 

La Géante, 2020, Zulma

La Grande Villa, 2016, Gaïa Éditions

Le silence ne sera qu’un souvenir, 2014, Réédition, collection Babel, Actes Sud