Depuis 2014, des expositions

Nos expositions

Dans la Chambre des cartes de la Maison Julien Gracq, vous trouverez une exposition permanente autour des oeuvres de Julien Gracq et de leur lien avec la géographie. 

Chambre plutôt que cartothèque….La cartothèque est une collection, répertorié, classée au service du seul savoir. La chambre des cartes rassemble des représentations, des images qui se prêtent au rêve, au songe et à la projection.

Les expositions temporaires

mabille site

Pierre Mabille / Pas loin du fleuve

De septembre à novembre
Inspiré par la géographie de la région, son climat, les rives indéterminées du fleuve et les lumières colorées qui surprennent par leur hétérogénéité, il revient plus de 10 ans plus tard, pour l’exposition Pas loin du fleuve, à l’abbaye de Saint-Florent-le-Vieil et à la Maison Julien Gracq.

Jérémie Bennequin / Palimpseste

De juin à septembre 2024
Cette exposition au sein de la Chambre des cartes de la Maison Julien Gracq réunit pour la première fois un vaste ensemble d’œuvres issues de plusieurs séries réalisées au fil du temps, sur une longue période d’environ vingt ans, autours d’un thème central et d’un geste artistique obsessionnel : l’écriture et l’effacement.

Kelig Hayel / Bordure(s)

De Mars à juin 2024
"Bordure(s) fait le récit d'un paysage ou deux moments se contractent l’un dans l’autre, puisque l’un n’a pas encore disparu quand l’autre paraît. Le présent qui dure se divise à chaque instant en deux directions, l’une orientée et dilatée vers le passé, l’autre se contractant vers l’avenir. Le paysage dont je fais le récit, prend essence dans cet espace d'abstraction." Kelig Hayel

Julien Gracq, l'œil géographique

De septembre à novembre 2023
Photographies prises par Julien Gracq. Exposition créer par la Maison Julien Gacq, l'université d'Angers, la bibliothèque municipale d'Angers et la Ville de Caen.

davodeau

Etienne Davodeau / le droit du sol

De juin à septembre 2023
Planches originales de sa bande dessinée "Le Droit du Sol" publiée en 2021 aux éditions Futuropolis.

Jean-louis Kerouanton / la maison de monsieur Poirier

D'avril à juin 2023
Photographies da la Maison de Julien Gracq prises en 2021 avant la réhabilitation en résidence d'écrivians.

Antoine Birot / Oxymore

Dans le cadre de En miroir de..., en partenariat avec Mauges sur Loire
De septembre à novembre 2022

Thibaut Cuisset / Campagnes française

Ancien pensionnaire de la Villa Médicis et de la villa Kujoyama, il s'est consacré à la photographie de paysages à travers le monde
De septembre à novembre 2021

Marie Bonnin / Un balcon en Forêt

Artiste résidente en 2019 à la Casa Velasquez, elle y poursuit un projet autour du roman de Julien Gracq
De juin à août 2021

Les Préférences / exposition collective

Sollicités pour avoir déjà participé, par le passé, à une exposition au Centre d’art de Montrelais et/ou à la Maison Julien Gracq, trente cinq artistes ont accepté de jouer le jeu, en proposant une œuvre, de format imposé 30 x 20 cm, répondant aux mots-clé du festival : Loire, géographie, vélo, paysage, carte, Gracq ...
De septembre à novembre 2020

Jean-Gilles Badaire / Peupliers

Jean-Gilles Badaire a un jour rencontré Julien Gracq dans sa maison florentaise. En 2019, il est revenu peindre les peupliers de l'île Batailleuse. L'artiste a laissé son empreinte dans la Maison, il nous a quittés fin 2022

Sylvie Danto / Quelques arbres en chemin

Sylvie Danto dit "qu'elle fait son paysage, qu'elle passe d'un certain paysage à un paysage incertain"
De juin à septembre 2019

Olivier Rucay / Rives

Photographe et peintre nantais, il a exposé ses recherches plastiques autour des rives de fleuves. L’œil cherche et le flou invite à enquêter sur l’image : qu’est-ce qu’un paysage ? De septembre à octobre 2019

Patricia Cartereau / Respirations

" J'arpente, je contemple, souvent je collecte : je marche pour appeler les images. J'aime chercher les traces : des empreintes lavées du passage des animaux, des indices du passages des hommes, des marques du passage du temps " D'août à novembre 2018

Nelly Buret / Dans le sillage d'Élisée

" Élisée Reclus, connu et reconnu puis inconnu et méconnu. La gravure avance à tâtons pour raconter l'histoire (...) vécue par celui qui fut géographe rebelle. Élisée, présence légère, me fait imperceptiblement tanguer dans des cartographies imaginaires. "
De mai à août 2018

Didier Juteau / juste avant la fin

" Le territoire impose une délimitation frontalière, un dedans, un dehors. La photographie opère de ce même procédé. (...) Ainsi les différentes photographies que je présente sont le bornage qui dessine ma géographie de l'intime. "
De février à mai 2018

Claude Colas / La forme d'une île

" L’île, en tant que lieu clos qu'on peut facilement parcourir, limité et rassurant comme presque une extension de soi, se prête aussi parfaitement aux métamorphoses de l'imaginaire. Il était donc alors simple, pour présenter ce travail, d'emprunter et détourner (respectueusement le titre de l'ouvrage bien connu de Julien Gracq..."
De novembre 2017 à février 2018

Yves Picquet / Mémoires enfouies

" Je suis revenu sur le paysage depuis une quinzaine d'années, non pour le présenter mais pour y puiser une matière, un prétexte à peindre "
De septembre à novembre 2017

Vasantha Yogananthan en bord de Loire

Lauréat de plusieurs prix dont le prestigieux Institut Center of Photography de New-York obtenu en 2017, Vasantha Yogananthan revient sur nos bords de Loire après une résidence en 2016 et deux séjours en 2017 pour terminer son travail de recherche et préparer une exposition au Centre d’Art de Montrelais et à la Maison Julien Gracq. Il s’est attaché à parcourir la Loire, muni de son regard de photographe, à la rencontre des habitants de Mauges-sur-Loire
En partenariat avec le Centre d'art de Montrelais, de juin à août 2017

Benoît Pype / Géographie transitoire

C’est tout petit, anodin, mais l’artiste en fait un monde qui tiendrait du merveilleux, de la lenteur, de la beauté. Un brin d’herbe, une goutte d’eau et voilà que notre regard s’étonne et s’emplit, c’est une respiration enfantine et une joie qui irait nous chercher là où on ne savait pas. En partenariat avec le Centre d'art de Montrelais, d'avril à mai 2017

Isabel Duperray / de l'un à l'autre

" Paysages, pays horizons, chez soi, paysages en soi, tremblement de l'intime et du lointain "
Juin 2017 et en partenariat avec le Centre d'art de Montrelais. de septembre à octobre en 2015

Frédérique Malette / Les vents te fuient

" Dans un engagement autant poétique que politique, le dessin s'empare, s'ouvre à l'Autre dans son entièreté dans un acte d'une responsabilité inifinie "
En partenariat avec le Centre d'art de Montrelais, de février à mars 2017

Luce Guilbaud / Le sillage éveillé*

Luce Guilbaud est poétesse et plasticienne d'origine vendéenne. Enseignante en arts plastiques jusqu'en 2002, elle se consacre depuis à son œuvre. Sa bibliographie se compose de plus d'une cinquantaine d'ouvrages, dans cet espèce de sillage éveillé qu'était "La Route et où on respirait comme nulle part " Julien Gracq
De novembre 2016 à janvier 2017

Marine Joatton / Fabula

" Entre abstraction et figuration, les dessins de Marine Joatton nous entraînent dans un monde inquiétant, violent, puissant et fantasmagorique. Ils procèdent d'une écriture automatique tout en tendant à l'élaboration d'un vocabulaire formel composé de masses et de traits abstraits desquels émergent des morceaux d'animaux, des végétaux, des visages , des bouts de corps. "
En partenariat avec le Centre d'art de Montrelais, de septembre à octobre 2016

Christos Chryssopoulos / disjunction athens 2014

Au coeur de la crise, Christos Chryssopoulos nous donne à voir dans ses photographies le charme de la ville d’Athènes mais surtout les blessures profondes qu’elle a pu subir.
« Disjunction tente d’enregistrer et de concevoir une ville dérangée et en même temps autorégulée. » Christos Chryssopoulos dans Grèce Hebdo
Juin 2016

Thierry Le Saëc / Traversée 1995-2016

L’artiste présente des œuvres étroitement liées à la cartographie et à la géographie, des paysages représentés dans la Chambre des Cartes et ailleurs. A ce titre, il met en lumière huit créations dédiées à la Maison Julien Gracq avec la mise en dessin des îles Batailleuse et Mocquart
En partenariat avec le Centre d'art de Montrelais, de juin à août 2016

Typhaine Lebrusq

Pour cette artiste peintre, le tableau "devient un lieu qui se situe à l’intersection du réel et de l’irréel, de l’ici et de l’ailleurs, il permet de donner une forme au seuil, à l’entre-deux : produire le lien entre intérieur et extérieur.(...)
En partenariat avec le Centre d'art de Montrelais, de mars à mai 2016

Camille Hervouet et Grégory Valton / Glissé amoureux

Les photographes, Camille Hervouët et Grégory Valton explorent le sentiment amoureux, en lien avec le paysage. Ils ont entrepris, en 2009, un projet artistique, intitulé « Glissé amoureux ». Ils l'ont poursuivi au cours de leurs résidences d'artistes aux Herbiers, à Saint-Philbert-de-Grandlieu et à Montrelais depuis l'automne 2015. Ils ont mêlé leurs approches, plus documentaire pour l'une, plus introspective pour l'autre
En partenariat avec le Centre d'art de Montrelais, de janvier à mars 2016

Pascal Proust / URBA

" Depuis de nombreuses années, le travail de création de Pascal Proust est en interaction constante avec l'architecture. Il se situe à la jonction du dessin d'architecte, du bas-relief et de la sculpture. Il découpe, façonne, papier, polypropylène ou métal avec comme parti pris le "pliage relief". Il joue sur l'action de la lumière, l'intensité des ombres et des éclats de lumière, jeux poétiques des espaces et des pliages pour obtenir des formes épurées "construites", aux combinaisons géométriques complexes, se projetant ainsi vers la troisième dimension. Savant compromis entre sculptures et architectures utopiques "
De novembre 2015 à janvier 2016

Emmanuel Ruben / Dans les ruines de la carte

Ecrivain et dessinateur, auteur nominé lors du dernier Goncourt, Emmanuel Ruben a été en résidence à la Maison Julien Gracq à l’automne 2014 et son directeur artistique et littéraire de 2017 à 2021.
" L'écorce n'est pas moins vraie que le tronc. C'est même par l'écorce que l'arbre, si j'ose dire, s'exprime. En tout cas se présente à nous. Apparaît d'apparition et pas seulement d'apparence. L'écorce est irrégulière, discontinue, accidentée. Ici elle tient à l'arbre, là elle se défait et tombe entre nos mains. Elle est l'impureté qui vient des choses mêmes […] "
D'avril à août 2015